- EAN13
- 9791041417261
- Éditeur
- Points
- Date de publication
- 12/01/2024
- Collection
- Points Poésie
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Un recueil regroupant les 56 poèmes de Missak Manouchian, figure de la
résistance et héros de l'Affiche Rouge, mort pour la France en février 1944.
Des poèmes inédits pour la première fois traduits en France dans une
magnifique édition bilingue.
Il me semble que dans la rue les gens
Luttent terriblement avec le temps,
Et à chaque instant, de victoire en victoire,
Pour l’avenir s’élève une armée…
Il était l’un des « vingt-et-trois » chantés par Léo Ferré. Missak Manouchian
est mort pour la France. Mais bien avant de prendre les armes pour défendre la
liberté, cet immigré arménien s’est armé de mots. Sa poésie dit la nostalgie
de son pays meurtri, sa souffrance d’étranger apatride, son aspiration à un
amour fraternel entre les hommes et sa colère contre les injustices.
Pour la première fois traduite en intégralité, son œuvre poétique est un
préambule inédit à son engagement dans la Résistance.
Missak Manouchian (1906-1944) était à la tête du groupe de l’Affiche Rouge.
Exécuté avec d’autres camarades au Mont-Valérien, sa dernière lettre à son
grand amour Mélinée a inspiré à Louis Aragon l’un de ses plus grands poèmes.
Le 21 février 2024, Missak et Mélinée Manouchian entrent au Panthéon.
Traduit de l'arménien par Stéphane Cermakian
Préface d'André Manoukian
Introduction de Didier Daeninckx
résistance et héros de l'Affiche Rouge, mort pour la France en février 1944.
Des poèmes inédits pour la première fois traduits en France dans une
magnifique édition bilingue.
Il me semble que dans la rue les gens
Luttent terriblement avec le temps,
Et à chaque instant, de victoire en victoire,
Pour l’avenir s’élève une armée…
Il était l’un des « vingt-et-trois » chantés par Léo Ferré. Missak Manouchian
est mort pour la France. Mais bien avant de prendre les armes pour défendre la
liberté, cet immigré arménien s’est armé de mots. Sa poésie dit la nostalgie
de son pays meurtri, sa souffrance d’étranger apatride, son aspiration à un
amour fraternel entre les hommes et sa colère contre les injustices.
Pour la première fois traduite en intégralité, son œuvre poétique est un
préambule inédit à son engagement dans la Résistance.
Missak Manouchian (1906-1944) était à la tête du groupe de l’Affiche Rouge.
Exécuté avec d’autres camarades au Mont-Valérien, sa dernière lettre à son
grand amour Mélinée a inspiré à Louis Aragon l’un de ses plus grands poèmes.
Le 21 février 2024, Missak et Mélinée Manouchian entrent au Panthéon.
Traduit de l'arménien par Stéphane Cermakian
Préface d'André Manoukian
Introduction de Didier Daeninckx
S'identifier pour envoyer des commentaires.